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Comment soigner les hémorroïdes ?

  • Dernière modification de la publication :16 décembre 2024
  • Post category:Blog / Hémorroïdes

La maladie hémorroïdaire engendre des symptômes particulièrement désagréables, qui peuvent grandement altérer la qualité de vie.
Cette pathologie touche près de la moitié de la population française. Un chiffre en augmentation, qui s’explique par une sédentarité accrue, une augmentation nette du surpoids (47% des adultes1) et une alimentation sans cesse dégradée.
Lisez cet article pour découvrir comment soigner les hémorroïdes.

Sommaire

Qu’est-ce que la maladie hémorroïdaire ?

La maladie hémorroïdaire est une manifestation bégnine de l’insuffisance veineuse, où ce ne sont pas les veines des membres inférieurs qui sont touchées, mais les veines hémorroïdales. Ces veines sont situées dans le canal anal, sous forme de paquets (hémorroïdes internes), et sur la marge anale (hémorroïdes externes).

"La maladie hémorroïdaire est une manifestation bégnine de l’insuffisance veineuse, où ce ne sont pas les veines des membres inférieurs qui sont touchées,  mais les veines hémorroïdales"

En cas de maladie hémorroïdaire, les hémorroïdes sont inflammées : la circulation sanguine ne se fait plus correctement, le sang stagne dans les hémorroïdes (stase veineuse), ces dernières se dilatent et se font douloureuses.

Comment soigner les hémorroïdes – les symptômes

La symptomatologie de la pathologie hémorroïdaire varie selon son degré d’avancement. 

Ainsi, en cas de crise hémorroïdaire isolée, où la maladie n’en est qu’à ses prémices, les symptômes sont essentiellement les démangeaisons, l’inconfort (douleurs fugaces ou sensations de pesanteur) et un possible gonflement localisé. Ils se manifestent souvent après le passage aux toilettes.

Lorsque la maladie hémorroïdaire en est à un stade plus avancé, la symptomatologie se fait plus douloureuse et intense : rectorragies (saignements anaux), irritations accrues, algies intenses, « sortie » des hémorroïdes de l’anus (prolapsus). Elle est alors particulièrement invalidante et altère la qualité de vie de la personne touchée. 

Comment soigner les hémorroïdes – la cause

Les troubles hémorroïdaires sont multifactoriels : ils sont bien souvent dus à la conjonction de causes anatomiques et de facteurs favorisants

Vaisseaux sanguins
L’origine de la maladie hémorroïdaire est l’insuffisance veineuse

À l’origine, la souffrance hémorroïdaire est causée par une insuffisance veineuse : les veines hémorroïdales perdent de leur tonus, si bien que le sang y stagne et exerce une pression sur elles. Cette pression cause gonflements et douleurs et, si elle est permanente ou répétitive, une déformation des paquets hémorroïdaux et des tissus qui les soutiennent. In fine, les hémorroïdes (internes) glissent le long du canal anal, jusqu’à l’anus. S’agissant des hémorroïdes externes, elles peuvent thromboser : le sang forme un caillot qui finit par éclater (rectorragie).

"À l’origine, la souffrance hémorroïdaire est causée par une insuffisance veineuse"

Toutefois, d’autres causes peuvent expliquer la survenue de crises hémorroïdaires :

  • les troubles du transit, tant constipation chronique (poussée lors de la défécation, qui crée une pression accrue sur les hémorroïdes, et selles dures, qui irritent les veines lors de leur passage) que diarrhée (selles acides et abrasives, défécation fréquente finissant par créer une inflammation localisée) ;
  • l’hérédité ;
  • l’âge (baisse du tonus veineux, perte d’élasticité des tissus de soutien, rigidification et porosité des veines hémorroïdales, affaiblissement des muscles sphincters et du plancher pelvien, hypertension artérielle) ;

Enfin, certains facteurs peuvent favoriser les troubles hémorroïdaires :

  • une alimentation déséquilibrée, pauvre en fibres et riches en graisses saturées, sucre et sel, qui nuit au bon transit intestinal ;
  • une faible hydratation, qui tend à encourager constipation et durcissement des selles ;
  • la sédentarité, notamment la position assise prolongée, qui favorise la pression sur les hémorroïdes et nuit à la bonne circulation sanguine ;
  • le surpoids et l’obésité, bien souvent corrélés avec une mobilité faible, des troubles de la circulation veineuse et une constipation ;
  • la grossesse (stase veineuse accrue par les fluctuations hormonales) et l’accouchement (poussée forte accentuant la pression sur les hémorroïdes) ;
  • certaines maladies, comme le syndrome métabolique ou les pathologies de la sphère gastro-intestinale ;
  • certaines activités, qu’elles soient professionnelles (port de charges lourdes) ou sportives (vélo, équitation, musculation).

Comment soigner les hémorroïdes – les traitements

Les traitements médicamenteux

La première alternative à envisager pour soigner les hémorroïdes est la voie médicamenteuse. Elle se décline sous trois formes : les médicaments (voie orale), les pommades et crèmes (voie cutanée), les gels anaux et suppositoires (voie rectale).

"La première alternative à envisager pour soigner les hémorroïdes est la voie médicamenteuse"

Voie orale

Médicaments en comprimés

S’agissant des traitements oraux, on peut en mentionner de différentes classes pharmacothérapeutiques :

  • les veinotoniques (diosmine, troxérutine), qui visent à relancer la microcirculation ;
  • les antalgiques (paracétamol), pour calmer les douleurs associées aux hémorroïdes ;
  • les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ibuprofène, diclofénac), qui calment l’inflammation localisée ;
  • les laxatifs, pour fluidifier le transit et ainsi, minimiser l’irritation lors de la défécation.

Ces médicaments sont, pour la plupart, plutôt des palliatifs que des curatifs, c’est-à-dire qu’ils apaisent tout ou partie des symptômes de la maladie hémorroïdaire, sans la soigner réellement.

Voie cutanée

Comment soigner les hémorroïdes - tube de médicament de forme cutanée

Les traitements topiques des hémorroïdes se présentent sous la forme de crème, pommade ou gel. Leur formulation est variable : ils peuvent tour à tour contenir des principes actifs anesthésiques et antalgiques (pour neutraliser les douleurs et irritations localisées), anti-inflammatoires (pour résorber l’inflammation et les possibles gonflements), ou éventuellement phlébotoniques (pour relancer le tonus veineux). À cela s’ajoute des agents adoucissants et émollients, pour apaiser la peau.

L’utilisation d’un traitement antihémorroïdaire par voie dermatologique a des effets très limités3 :

  • l’absorption cutanée des substances actives est très restreinte, voire nulle ;
  • si le problème se situe au niveau des hémorroïdes internes, l’application d’une crème sur la marge anale n’aura aucun effet ;
  • la pathologie hémorroïdaire étant une maladie systémique, conjonction de multiples facteurs, elle bénéficiera davantage d’un traitement ingéré ou administré par voie veineuse.
"L’utilisation d’un traitement antihémorroïdaire par voie dermatologique a des effets très limités"

Voie rectale

Comment soigner les hémorroïdes - Suppositoires

Dernière option médicamenteuse pour soigner les hémorroïdes : un traitement par voie rectale, sous la forme de suppositoires ou de gel rectal mono-dosé. Le médicament est introduit dans l’anus, remonte vers le rectum où le principe actif est libéré puis absorbé par la muqueuse, pour se diffuser ensuite via la circulation sanguine.

La principale faille de ce mode d’administration n’est pas tant la formulation du médicament que la faible résorption des principes actifs. À cet égard, l’on constate que les personnes optant pour des suppositoires pour soigner leurs hémorroïdes doivent en principe compléter par un second traitement – comprimés, gélules4… 

L’autre limite est, comme pour les deux premières options, le caractère palliatif plus que curatif : si, par exemple, les troubles hémorroïdaires sont dus à une malnutrition, prendre des laxatifs à répétition (par exemple, des suppositoires à la glycérine) règlera peut-être la constipation, mais pas la cause inhérente à la survenue des crises hémorroïdaires, en l’occurrence la carence en fibres de l’alimentation.

Les traitements non invasifs

Outre les traitements médicamenteux, qui ne consistent qu’en des solutions d’appoint face à l’inflammation hémorroïdaire, il existe aujourd’hui des solutions non (ou faiblement) invasives. Elles permettent d’éviter la chirurgie lourde et affichent un taux de réussite satisfaisant. 

Traitements non invasifs – méthodes5

  • la sclérothérapie par injection – injection d’une solution sclérosante (classiquement, du phénol 5%) dans les hémorroïdes, pour qu’elles régressent ;
  • la ligature élastique – ligature des paquets hémorroïdaux internes avec un élastique jusqu’à nécrose de ces derniers ;
  • la photocoagulation infrarouge – brûlure superficielle des tissus de la paroi anale, juste au-dessus des hémorroïdes internes, pour provoquer une cicatrisation fibreuse et ainsi, renforcer les tissus de soutien des paquets hémorroïdaires ;   
  • l’hémorroïdoplastie au laser – cautérisation par laser des paquets hémorroïdaires pour réduire leur taille et leur flux sanguin ;
  • la cryothérapie – application d’azote via une cryode pour brûler le tissu muco-hémorroïdaire et ainsi créer un tissu cicatriciel fibreux venant renforcer les tissus de soutien ;
  • l’électrocoagulation bipolaire – coagulation de la zone hémorroïdale interne (tissus et plexus veineux), pour stopper la microcirculation locale.

Aucune méthode n’est plus recommandable qu’une autre, et tout va dépendre de la situation particulière de chaque patient. Par ailleurs, certaines de ces procédures exigent plusieurs séances pour être effectives. Enfin, ces méthodes sont, la plupart du temps, non définitives, et exigent une « reprise » ou une solution chirurgicale à terme. 

Traitements non invasifs – avantages et inconvénients

  • la technique par infrarouges s’applique en cas de pathologie hémorroïdaire naissante, offre de bons résultats à court terme, mais est moins efficace à long terme, avec forte probabilité de récidive6 ; 
  • la ligature ne s’adresse qu’aux hémorroïdes internes, est plus efficace que d’autres techniques non invasives mais moins qu’une chirurgie, et ne peut être appliquée en cas de prolapsus (sortie des hémorroïdes par l’anus)7 ;
  • les injections sclérosantes se font sur plusieurs séances, ne sont destinées qu’aux patients présentant une maladie hémorroïdaire débutante, sont peu efficaces à long terme8 et sont contre-indiquées dans certains cas (grossesse, immunodépression) ;
  • l’électrocoagulation bipolaire est en principe efficace en une séance, mais génère des effets secondaires importants8 (gêne anale constante, douleurs, saignements).

Les traitements chirurgicaux

Intervention chirurgicale

Attardons-nous à présent sur les méthodes chirurgicales visant à soigner les hémorroïdes

Traitements chirurgicaux – trois méthodes principles 

  • l’hémorroïdectomie chirurgicale (Milligan et Morgan), qui consiste en une ablation des hémorroïdes sous anesthésie locale ou générale ;
  • l’hémorroïdopexie (technique de Longo), qui vise à retirer une partie de la muqueuse anale pour « remonter » les hémorroïdes et corriger le prolapsus ;
  • la ligature des artères hémorroïdales guidée par doppler (DGHAL), qui consiste à bloquer la circulation sanguine vers les hémorroïdes par ligature des artères rectales.

Traitements chirurgicaux – avantages et inconvénients

  • l’hémorroïdectomie s’adresse à tous les patients, quel que soit le stade d’avancement de la maladie hémorroïdaire, affiche un bon taux de réussite, mais génère de sévères douleurs post-opératoires et surtout, de possibles suites (sténose anale, complication infectieuse, marisques, suppurations locales, incontinence anale temporaire) ;
  • l’hémorroïdopexie génère moins de douleurs postopératoires que l’hémorroïdectomie mais est moins efficace à long terme, causant plus de symptômes10 et surtout, plus de risques de récidives de la maladie hémorroïdaire (dont le prolapsus)11 ;
  • la DGHAL ne peut être pratiquée sur les cas les plus sévères (maladie hémorroïdaire de grade 4), ne convient pas aux hémorroïdes externes (tout comme l’hémorroïdopexie) mais présente une efficacité certaine, avec risque de récidive modéré11 (faible en situation de maladie hémorroïdaire débutante, un peu plus élevé en cas d’hémorroïdes prolabées).

Les compléments alimentaires

Comment soigner les hémorroïdes - compléments alimentaires
Certains compléments alimentaires peuvent aider à soigner les hémorroïdes

Les compléments alimentaires, lorsqu’ils agissent sur les causes de la maladie hémorroïdaire, peuvent être d’une grande aide. Certaines plantes sont en effet de véritables « coup de pouce » en cas d’hémorroïdes inflammées, de par leurs vertus thérapeutiques. 

En effet, les problèmes d’hémorroïdes étant causés principalement par une insuffisance veineuse (auxquels s’ajoutent des mauvaises habitudes de vie), la prise régulière de compléments alimentaires peut aider à réduire l’intensité des symptômes et la fréquence des crises.

"Certaines plantes sont en effet de véritables « coup de pouce » en cas d’hémorroïdes inflammées"

Les composant actifs naturels les plus reconnus pour leur efficacité contre les hémorroïdes sont : 

  • le marron d’Inde, le fragon petit-houx ou le ginkgo biloba : veinotoniques naturels ;
  • la vigne rouge, le mélilot ou l’hespéridine contenu dans le flavédo des agrumes : excellents vasculoprotecteurs ;
  • la prêle des champs, l’achillée millefeuille ou la rutine (principe actif que l’on retrouve dans certaines plantes, comme le cassis) : minimisent le risque hémorragique.
"la prise régulière de compléments alimentaires peut aider à réduire l'intensité des symptômes et la fréquence des crises"

Par contre, il convient de les choisir avec soin, en veillant à ce qu’ils soient 100% naturels et bien formulés à partir de plantes et actifs naturels aux propriétés phlébotoniques, vasculoprotectrices (renforcement de la paroi des veines hémorroïdales), anti-inflammatoires (riches en antioxydants) et/ou laxatives (forte teneur en fibres, comme les mucilages ou la pectine). Seulement sous cette condition, l’on peut espérer une véritable efficacité pour soigner les hémorroïdes. 

Cependant, la prise seule de compléments alimentaires, dans les cas les plus avancés, ne sera pas suffisante pour soigner les hémorroïdes.
Une approche holistique sur toutes les causes et facteurs favorisants est la meilleure réponse à la question « comment soigner les hémorroïdes ? »

L’approche holistique – la solution

Comme évoqué plus tôt, la pathologie hémorroïdaire est plurifactorielle. Soigner ses hémorroïdes peut bien évidemment passer par la prise de médicaments ou par une intervention médicale, mais une approche globale devrait être privilégiée.

"Une approche globale devrait être privilégiée"

C’est en cela que l’approche holistique est intéressante : elle ne vise pas à simplement supprimer les symptômes, mais bien à guérir la maladie en agissant simultanément sur ses différentes causes. La problématique hémorroïdaire n’est plus abordée sous l’angle d’une liste de symptômes, mais comme la conséquence d’une dysfonction globale de l’organisme.

Légumes
Une alimentation riche en fibre est bénéfique contre les problèmes d’hémorroïdes
" Une approche holistique sur toutes les causes et facteurs favorisants est la meilleure réponse à la question "comment soigner les hémorroïdes ?" "

Ainsi, le traitement holistique des hémorroïdes impose de :

  • modifier profondément sa manière de s’alimenter, en écartant les aliments néfastes au transit intestinal et à la santé du microbiote (alimentation transformée, riche en graisses saturées, sucre et sel) et en privilégiant les aliments bruts, à cuisiner soi-même ;
  • ajouter progressivement des fibres solubles et insolubles à son assiette (selon Santé Publique France, 87% des Français sont carencés en fibres et en consomment moins de 25 g – quantité recommandée – par jour)13 ;
  • s’aider ponctuellement de plantes laxatives douces (dites « laxatifs de lest ») pour réduire le risque de constipation, si besoin est, comme la mauve, le séné, l’ispaghul ;
  • s’hydrater suffisamment, pour éviter le durcissement potentiel des selles, en privilégiant l’eau (eviter les boissons sucrées, édulcorées ou caféinées) ;
  • pratiquer une activité physique quotidienne d’au moins 30 minutes, pour minimiser le risque de stase veineuse, maintenir un poids de forme, et éviter la position assise prolongée ;
  • marcher autant que possible ;
  • éviter le stress chronique, dont les effets (hausse de la tension artérielle, conséquences sur le transit intestinal, consommation de toxiques comme l’alcool et le tabac) sont délétères à la santé recto-anale ;
  • adopter de bonnes habitudes aux toilettes – déféquer dès lors que le besoin se fait ressentir, ne pas forcer pour expulser les selles, ne pas rester longtemps assis sur les toilettes, surélever ses jambes avec un petit tabouret, utiliser du papier hygiénique humide ou des lingettes à l’hamamélis pour l’essuyage, pratiquer des bains de siège si nécessaire.
"Les compléments alimentaires [...] permettent de renforcer l’efficacité des efforts hygiéno-diététiques"

À ces recommandations, peut s’ajouter la prise régulière de compléments alimentaires de phytothérapie, qui permettent de renforcer l’efficacité des efforts hygiéno-diététiques. Les plantes qu’ils contiennent agissant directement sur les causes inhérentes à la pathologie hémorroïdaire. 

Vous l’aurez compris, la réponse à la question « comment soigner les hémorroïdes ? » est l’approche holistique.
En complément d’un mode de vie sain, la prise régulière de compléments alimentaires naturels contenants des principes actifs phlébotoniques, vasculoprotecteurs et anti-inflammatoires, est la meilleure solution pour soigner les hémorroïdes sur le long terme.

Lisez nos avis des compléments alimentaires les plus populaires sur le marché


Sources

  1. Assurance Maladie, Comprendre le surpoids et l’obésité de l’adulte ↩︎
  2. 2014, Boulanger, FORMES PHARMACEUTIQUES ET VOIES D’ADMINISTRATION ↩︎
  3. 2004, Madoff, Fleshman, American Gastroenterological Association Technical Review on the Diagnosis and Treatment of Hemorrhoids ↩︎
  4. 2014, Higuero, Traitement de la pathologie hémorroïdaire : les nouvelles recommandations ↩︎
  5. 1990, Walker et al., A prospective study of infrared coagulation, injection and rubber band ligation in the treatment of haemorrhoids ↩︎
  6. 2005, Shanmugam et al., Systematic review of randomized trials comparing rubber band ligation with excisional haemorrhoidectomy ↩︎
  7. 1995, MacRae, McLeod, Comparison of hemorrhoidal treatment modalities. A meta-analysis ↩︎
  8. 16994, Randall et al., Prospective randomized comparative study of bipolar versus direct current electrocoagulation for treatment of bleeding internal hemorrhoids ↩︎
  9. 2013, Bouchard et al., One-year outcome of haemorrhoidectomy: a prospective multicentre French study ↩︎
  10. 2008, Shao et al., Systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials comparing stapled haemorrhoidopexy with conventional haemorrhoidectomy ↩︎
  11. 2012, Avital et al., Five-year follow-up of Doppler-guided hemorrhoidal artery ligation ↩︎
  12. 2017, Santé Publique France, L’essentiel des recommandations sur l’alimentation ↩︎

Cet article a 2 commentaires

  1. RBO

    Bon début, bravo !
    Les produits sur les hémorroïdes sont bien analysés, cela paraît sérieux .
    Merci pour ce travail
    Mais il faut continuer et mettre d’autres produits et compléments alimentaires au comparatif !

    1. queditlascience

      Merci beaucoup pour vos encouragements. N’hésitez pas s’il y a un produit antihémorroïdaire que vous aimeriez que l’on évalue.

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